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L'histoire de l'Afrique du Sud en bref !

Préparez votre mission humanitaire.

Le passé de l’Afrique du Sud est une longue histoire d’obstacles qui ont mené à la création d’une nation unie et pourtant diversifiée – la Nation Arc-en-Ciel (Rainbow Nation). Son histoire moderne a commencé avec Jan van Riebecck en 1652, quand la compagnie des Indes néerlandaise lui a ordonné la construction d’un fort et le développement d’un potager pour servir les bateaux commerciaux qui naviguaient vers l’est. Ces aventuriers ont établi une colonie qui vers la fin du 18ᵉ siècle comptait déjà 15 000 habitants. Les colonisateurs étaient connus sous le nom de « Boers » et ils parlaient un dialecte néerlandais appelé afrikaans. La première tentative d’établissement d’une république indépendante date de 1795. La colonie est tombée sous contrôle britannique en 1815. Avec le gouvernement et l’abolition de l’esclavage en 1833, quelque 12 000 Afrikaners ont participé au « grand trek » vers le nord et l’est du pays, vers les territoires tribaux, où ont été créés la république de Transvaal ainsi que l’état libre d'Orange. 

 

Mais, ce sont les terres des puissantes tribus Zulu, qui ont tué les responsables du trek et ont commencé la guerre que l'on appelle la Boer War. Quelques tribus ont gardé leurs territoires, mais la majorité ont dû s’incliner devant les Boers ou devant les Britanniques cependant les Zulu sont toujours reconnus comme de grands guerriers. Ils ont marqué l’histoire de l’Afrique du Sud. Le peuple Nguni inclut les tribus Zulu, les Swazi, les Ndebele et les Nguni, qui représentent un tiers de la population du pays. L’ancien président de l’Afrique du Sud, Nelson Mandela, était un Xhosa. Petit à petit la séparation raciale – l’apartheid – a gagné la politique du pays et a imposé des restrictions importantes dans la vie des Bantus (les africains de peau noire), des asiatiques et des métisses. La population noire a perdu le droit de vote en 1936. Pendant presque 50 ans, toutes les personnes qui n’étaient pas blanches étaient exclues de force des endroits réservés aux blancs. Lors des actions « Group Area Acts » en 1950 et 1986, 1,5 million de sud-africains noirs ont été bannis des villes et forcés à vivre dans la pauvreté dans les townships (bidonvilles) et devaient obéir aux lois répressives. 

 

La population noire a travaillé dur et s’est battu pour leurs droits. Les grèves et manifestations étaient nombreuses, dès 1950, surtout pour protester contre les « passbook », une sorte de passeport que les noirs devaient porter sur eux à tout moment. L’Afrique du Sud a été proclamé république indépendante en 1961, quand elle a quitté le Commonwealth, qui était contre la politique raciste du pays. Le parti suprématiste « National Party », qui était déjà au pouvoir depuis 1948 a gouverné pendant trois décennies. En 1960, 70 manifestants noirs ont été assassinés pendant une manifestation pacifique à Sharpesville. La première organisation anti-apartheid, le « African National Congress » a été dissout cette année-là, et en 1964, leur chef, Nelson Mandela, a été condamné à une sentence d’emprisonnement à perpétuité.Les manifestations ont cependant pris de l’ampleur et ont commencé à être de plus en plus violentes. En 1976, une révolte qui s’est étendue dans plusieurs townships a terminé avec un massacre laissant 600 morts. L’ONU a imposé des sanctions et plusieurs pays ont décidé d’arrêter leurs investissements en Afrique du Sud en contestation.

 

Enfin, le 2 février 1990, le président De Klerk a levé les restrictions envers 33 groupes politiques, dont l’ANC de Mandela. Le 11 février, Mandela a été libéré après 27 ans d’emprisonnement. La première élection démocratique eu lieu les 26, 27 et 28 avril 1994, et l’ANC (African National Congress) l’a emporté en alliance avec le parti communiste et Cosatu. Nelson Mandela fut proclamé président le 10 mai. Même après la fin de sa présidence en 1999, Mandela était considéré comme un des hommes d’État le plus prévoyant et magnanimes de l’histoire. C'est l'initiateur d’une nouvelle constitution ; il a commencé l’immense tâche de remaniement des services publics qui a mis fin à l’apartheid. Il a également créé la commission de Vérité et de Réconciliation pour enquêter sur les événements sombres du passé de l’Afrique du Sud. Son importance a pu être remarquée lors de la cérémonie de son décès en décembre 2013 où d’innombrables chefs d’Etat et personnalités célèbres du monde entier étaient présents. Les élections sont maintenant pacifiques et démocratiques et l’Afrique du Sud connaît désormais une stabilité politique.

 

Le climat en Afrique du Sud pendant votre mission humanitaire ?

 

 

L’Afrique du Sud est située sur l’hémisphère sud et les saisons sont opposées en comparaison à l’Europe. L’hiver est en juin et juillet, tandis que l’été est en décembre et janvier. Le sud du pays et Cape Town ont un climat presque méditerranéen ; un hiver doux avec un peu de pluies et des températures qui ne descendent jamais en dessous des 10 °c ainsi qu’un été chaud et plutôt sec avec quelques brèves averses de temps à autre. Si vous effectuez votre voyage humanitaire pendant l’été sud-africain, prenez des vêtements légers dans des matières qui permettent de respirer. Si vous vous engagez pendant l’hiver, pensez à amener un pull et une veste. Le temps peut changer brutalement à Cape Town. Pensez à amener un pull léger pour les jours venteux (toute l'année). L’Atlantique est un océan d’eau froide, dû au courant Bengela, mais les plages du côté est de la ville profitent des courant de l’océan Indien et les baigneurs y trouvent leur bonheur. 

 

Comment s’habiller en Afrique du Sud pendant votre mission humanitaire ?

 

Plutôt de manière conservative. Bien que le code vestimentaire en Afrique du Sud soit assez détendu, vous serez plus à l’aise avec des vêtements assez classiques, surtout sur votre lieu de bénévolat et dans les bureaux. Les hommes doivent porter des pantalons, même quand il fait chaud. Évitez les shorts, qui ne font pas bonne impression. Les femmes doivent porter des pantalons, des jupes longues ou des robes (en dessous du genou). Les hauts à manches courtes sont acceptés, mais les minijupes, les shorts ou les hauts courts ne sont pas acceptables (ne montrez pas votre ventre ni vos épaules pendant vos heures de bénévolat). Amenez des vêtements pour un climat tropical : le coton ou la soie sont les plus confortables (le lin est trop lourd et trop chaud). Après le coucher du soleil, nous vous conseillons de privilégier les couleurs claires, des manches longues, des pantalons et des chaussettes pour vous protéger des moustiques. Si vous souhaitez visiter le nord du pays, notez que la plupart de la population est de confession musulmane dans cette région. Respectez leurs coutumes et couvrez vos épaules, jambes, ventre et bras !

 

La culture en Afrique du Sud !

En qualité d'étranger en mission humanitaire en Afrique du Sud, votre entourage vous quémandera souvent des cadeaux ou de l’argent. Ne pas laisser leur demande affecter l’amitié que vous leur portez. Ils tentent juste leur chance avec quelqu’un qu’ils considèrent comme plus riche qu’eux. L’Afrique du Sud est un pays multiculturel qui a malheureusement beaucoup souffert de l’apartheid. Jusque dans les années 90, le système de l’apartheid contrôlait beaucoup de choses comme l’art et la musique, et beaucoup d’artistes luttant contre la ségrégation raciale ont été bannis, mais désormais la culture sud africaine est reconnue et appréciée. L’art contemporain. L'art contemporain prend une place importante en Afrique du Sud et de nombreux artistes ont mis leur art au service de la lutte contre l’apartheid en s’isolant du reste du monde. Dans les quartiers défavorisés, cette lutte contre la ségrégation raciale est illustrée sur les murs et c’est depuis 1992, quand la surpression de la censure a été déclarée, que le travail de tous ces artistes a été reconnu. Les premiers festivals biennaux ont eu lieu et le National Arts Council a même subventionné des projets culturels.

 

La musique sud-africaine ?

 

Le Jazz sud-africain a évolué en même temps que l’histoire de l’Afrique du Sud. Le Jazz a été le moyen de communication des peuples opprimés du pays, tandis que le gouvernement contrôlait tous les moyens de communiquer et qu’il souhaitait dominer et effacer la culture africaine, le peuple a su retrouver la parole à travers le Jazz. Le plus souvent pratiqué dans les townships (quartiers défavorisés), il a aussi permis de rendre tous les hommes de l’Afrique du Sud, égaux. Si vous vous êtes au Cap pour votre mission humanitaire, vous pourrez participer au festival international de Jazz (Reconduit chaque année). 

 

La cuisine pendant votre voyage humanitaire ?

 

En immersion totale dans une famille d’accueil, vous pourrez goûter à la gastronomie sud africaine qui n’est autre qu’un mélange de culture africaine, européenne et asiatique. Bien sûr, vous n’échapperez pas au barbecue appelé Braai en  Africaans. Au Cap, la cuisine est un mélange d’influences malaisiennes et hollandaises, vous ne pouvez quitter l’Afrique du Sud sans avoir goûté à la célèbre « boerewors » qui est la saucisse paysanne traditionnelle (à ne pas confondre avec la braaiwors qui est de qualité inférieure). Goûtez aussi le biltong (viande séchée), le bobotie (curry malais avec compote de fruits) le mieliemeal (porridge de maïs avec du ragoût), le waterblommetjie bredie (ragoût de moutons avec fleurs de jacinthe). La viande fait partie intégrante des plats sud-africains, mais pour les amateurs de poisson, vous pourrez aussi goûter au snoek. 

 

La littérature sud-africaine ?

 

Beaucoup d'auteurs africains ont appris la littérature grâce aux missionnaires anglicans. Un des premiers romans connu et écrit par un Sud-africain en langue africaine est « Mhudi » de Solomon Plaatje. C’est l’histoire politique et le passé de l’Afrique du Sud qui ont permis a de nombreux écrivains de se faire connaître. Désormais, le thème de l’apartheid est révolu, c’est l’évolution de la population dans la société sud-africaine actuelle qui est maintenant étudiée.

 

La religion

 

Environ ¾ de la population en Afrique du Sud est chrétienne et l’église joue un rôle très important dans leur vie quotidienne ainsi que dans les affaires publiques (politiques, commerces, etc.). Après le christianisme, les autres religions pratiquées sont les religions africaines, hindouistes, les musulmanes et les juives. Les religions africaines (traditionnelles ou animistes) remontent environ à l’an 200. Les croyants pratiquent le culte des ancêtres, aussi appelés les morts vivants. Ils leur font des offrandes pour ne pas les offenser et éviter les mauvais sorts. 

 

La famille

 

En Afrique du Sud, la famille occupe une place importante, elle comprendra famille proche (les parents et leurs enfants) mais également les membres de la tribu auxquelles ils appartiennent. Elle fournit une sécurité émotionnelle et financière comme une famille nucléaire (proche) pourrait le faire. Alors que certains considèrent leur famille proche comme plus essentielle que leur famille éloignée, en Afrique du Sud traditionnelle, la tribu est tout aussi importante que la famille proche. Avec l’évolution démographique et économique, certaines personnes de la tribu sont forcées à quitter le village pour travailler en ville afin d'assurer une sécurité financière.

 

Les coutumes en Afrique du Sud :

Il y a des coutumes dans certains pays comme l’Afrique du Sud qui diffèrent des vôtres, et le fait de les connaître à l’avance permet d’éviter des situations embarrassantes ou gênantes. 

 

  • - Ne montrez pas d’affection pour une personne du même sexe en public, même si vous êtes en couple ou mariés.
  • - Toujours saluer de la main droite et pas de la main gauche
  • - Ne pointez pas du doigt
  • - Il faut toujours demander la permission avant de prendre une photo
  • - L’espace personnel de chacun à respecter varie en fonction de la personne avec qui vous parlez. Vous devrez être plus distant envers une personne âgée et toucher vos collègues de travail n’est pas non plus approprié.
  • - Vous ne verrez pas souvent un homme et une femme s’enlacer dans la rue, ça ne se fait pas, cependant, il est possible que vous voyiez deux personnes du même sexe main dans la main, car ils s’apprécient comme amis.
  • - Regarder quelqu’un dans les yeux est accepté, mais ce ne doit pas être insistant, notamment quand la personne plus âgée que vous. Cela serait considéré comme mal poli
  • - Montrez-vous modeste et amical envers la population locale
  • - Soignez votre apparence, les sud-africains aiment être bien habillés pour obtenir le respect des hommes et l’amour des femmes. Ne portez pas de vêtements délavés ou déchirés, vous serez considéré comme quelqu’un de sale et non respecté.

Comment bien s’entendre avec les sud-africains ?

Les sud-africains sont accueillants et chaleureux, ils acceptent facilement les étrangers. Toutefois, vous pouvez, avec ces quelques conseils, vous intégrer plus aisément.

 

Comment vous entendre avec les sud-africains pendant votre mission ?

 

… Ne leur dites pas comment gérer leur pays !

 

Bien que tous les sud-africains ne soient pas politiquement engagés, ils sont très fiers de leur indépendance qu’ils ont acquise très tôt en comparaison à d’autres pays d’Afrique. Afin d’éviter les problèmes ou situations embarrassantes, évitez de discuter de politique en public et ne participez pas à d’éventuelles manifestations. Ils se sont battus pour obtenir l’indépendance et ils ont le droit de gérer leur pays comme bon leur semble !

 

… Ne vous énervez pas !

 

Si vous vous énervez, vous perdrez la face et le respect de l’autre ! N’oubliez pas que vous n’êtes pas chez vous et qu’ils sont chez eux. Se plaindre de façon agressive résultera le plus souvent par de l’indifférence de la part de votre interlocuteur.

 

… réfléchissez avant de vous plaindre !

 

Si un sud-africain commet une erreur – avec le repas que vous avez commandé (par exemple), n’oubliez pas que si vous demandez à être remboursé ou si vous refusez de payer, c’est l’employé qui sera directement sanctionné. Réfléchissez toujours aux conséquences de vos actes, le plus souvent il s’agit de quelques euros pour vous, mais cela représente peut-être une semaine de salaire pour l’employé. 

 

... souriez et riez autant que possible !

La bonne humeur est le premier pas pour résoudre d’éventuels problèmes. Gardez cela à l’esprit avant de vous énerver !

 

Bus directs

 

Confort, sécurité et ponctualité sont au rendez-vous dans pratiquement tous les cas. Les agences de voyages locales sauront vous indiquer les compagnies les plus réputées. C’est aussi le meilleur moyen de traverser l’Afrique du Sud et de rejoindre le Zimbabwe, la Namibie ou le Malawi. Réduction de 15 % pour les étudiants et des forfaits de voyage illimités pour un prix fixe. Les prix varient en fonction des saisons. 

 

Baz Bus

 

Le hop-on, hop-off, comme on dit chez les anglo-saxons. Une idée géniale empruntée aux Australiens. On paie son billet de Cape Town à Durban, par exemple. En chemin, le bus marque plusieurs arrêts : vous pouvez descendre et remonter où bon vous semble pour des séjours illimités. Le Baz Bus est la compagnie qui a initié ce mode de transport en Afrique du Sud. Ce service de minibus privé présente beaucoup d’avantages : sécurité, régularité, fiabilité et convivialité. Si vous partez découvrir le pays après votre programme de bénévolat ou séjour linguistique, vous avez la possibilité de faire des arrêts à la demande dans de nombreuses auberges de jeunesse du pays. Il suffit de s’inscrire à l’AJ et de réserver sa place pour un trajet donné (par exemple, de telle AJ de Durban à telle AJ du Cap) ou une durée fixée à l’avance (passes de 7, 14 ou 21 jours : respectivement 2 400, 3 700 et 4 600 R).

 

Les AJ desservies par le Baz Bus sont répertoriées dans les petits guides gratuits « Coast to Coast » et « The Alternative Route ». L’avantage majeur est qu’il vous dépose directement à la porte. Si la ville choisie n’est pas sur la route du bus, on vous pose à un point précis, et c’est l’auberge où vous avez réservé qui vient vous chercher en navette (surcoût à payer en général quand il y a un peu de distance). Il y a environ 180 Baz Bus Stops dans tout le pays. Inconvénients : le billet est assez cher, et les routards font quasiment tous le même trajet, cela entraîne une certaine « moutonnerie » et bride quelque peu le sens de la découverte. Par ailleurs, même si l’on se fait déposer à l’AJ, on perd du temps dans chaque ville à faire le tour des différents points de chute pour déposer les routards. Faites donc votre calcul, car pour les grandes distances, les bus traditionnels restent moins chers ; en revanche, pour ceux qui veulent passer d’une AJ à l’autre, le Baz Bus devient une solution intéressante. La plupart de ces AJ sont également Baz Bus Agent, à savoir qu’elles vendent des billets de bus de compagnies nationales.

 

Train

 

La compagnie nationale s’appelle Shosholoza Meyl. C’est un moyen de transport assez long, mais il est ponctuel et idéal pour profiter des paysages.

 

Petit topo des différentes sortes de trains :

 

  • Shosholoza Meyl : pour les trains « longue distance ». Les lignes Johannesburg-Le Cap, Johannesburg-East London, Le Cap-Durban et Johannesburg-Port Elizabeth proposent une classe « touristique » (tourism class, avec couchettes), en plus de la classe économique (economy class, places assises uniquement). Comptez environ 690 R (environ 40 €) pour un billet Jo’burg-Le Cap en classe touristique. Comptez 27 h de trajet tout de même ! Pour les autres lignes, il n’y a que la classe économique, environ deux fois moins chère que l’autre. On peut y prendre ses repas, soit au wagon-restaurant, soit en attendant que passe le chariot...

 

  • The Premier Classe Train : entre Johannesburg et Le Cap, deux fois par semaine, ainsi qu’entre Johannesburg et Durban, uniquement une à trois fois par semaine. Compartiment de deux couchettes, salon à bord, tous les repas sont inclus, mais c’est nettement plus cher que le Shosholoza Meyl.

 

  • Dès 1 230 R pour Durban et 3 120 R par personne pour Cape Town.

 

  • Blue Train : de Pretoria à Cape Town de même que de Pretoria à Hespruit, une ligne de très grand luxe relancée en 1997. Quelques trajets par mois, capacité limitée. Plutôt pour faire une croisière terrestre que pour relier ces deux villes, vu le coût du voyage...

 

  • Rovos Rail : même genre (et même itinéraire) que le précédent, et encore plus luxueux.

 

  • Metrorail : les trains de banlieue. Changement de standing ! Ils possèdent deux classes : la 1re et la 3e. C’est étrange, mais c’est ainsi ! On peut choisir de se serrer sur les durs bancs de bois de la 3e ou s’offrir le « luxe » d’un tout petit peu plus de rembourrage en 1re. Pas très sûrs le jour, pas du tout sûrs la nuit.

Source : www.routard.com

 

Eau en Afrique du Sud

 

L’eau du robinet est potable. Comme la plupart des autres pays africains, l’eau comme l’électricité sont des ressources rares. Faites attention à votre consommation, ne restez pas trop longtemps dans la douche, ne laissez jamais le robinet couler inutilement, même quand vous vous brossez les dents, et pensez à éteindre les lumières et les appareils électroniques quand vous ne vous en servez pas. L’eau est rationnée en Afrique du Sud et les coupures de courant sont fréquentes. Gardez cela à l’esprit et surveillez votre consommation ! Jetez un œil à notre article de blog sur la consommation d'eau

 

Tabac, drogues et alcool, règlementation en Afrique du Sud ?

 

Pendant la durée du volontariat humanitaire et dans votre logement d’accueil, il est strictement interdit de fumer, consommer de l’alcool ou des drogues. L’alcool est interdit aux mineurs de moins de 18 ans et ne doit jamais être consommé dans les lieux publics en dehors des restaurants ou bars qui en vendent.

 

Horaires d’ouverture en Afrique du Sud

 

La plupart des banques et établissements officiels sont ouverts de 9h à 15h30 du lundi au vendredi et de 8h30 à 11h le samedi. Les magasins sont ouverts de 8h à 16h30 du lundi au vendredi et de 8h30 à 12h30 le samedi. Les horaires d’ouverture sont plus amples au centre-ville et dans les centres commerciaux.

 

Moyens de Paiement en Afrique du Sud

 

Les cartes de crédit comme VISA, American Express, Diners Club et Mastercard sont acceptées dans la majorité des points de vente. Dans les villages ou en dehors des grandes villes, vous trouverez généralement une banque ou un distributeur de billets. Les cartes de crédit ne sont pas acceptées pour l’achat de gazole ou essence. Vous trouverez un distributeur de billets (appelé Bankteller) dès votre arrivée à l’aéroport. Il se situe dans le terminal pour vols nationaux, à environ 400 mètres à droite du hall d’arrivée. Voici des conseils d’un ancien participant concernant les cartes de crédit :

« Pour plus de sécurité, notez les numéros d’opposition à votre carte à des endroits faciles d’accès. Certaines banques fournissent des petits autocollants avec ce numéro. Vous pouvez en coller un sur l’arrière de votre montre par exemple. Voyagez toujours avec au moins deux cartes de crédit. Si vous en perdez une, ou que vous avez atteint le plafond de retrait par semaine, vous aurez toujours l’autre. » 1€ = environ 17 rand (ZAR)

 

Électricité en Afrique du Sud

 

L’électricité en Afrique du Sud est de 220/240 volts, comme en Europe. Vous pourrez acheter un adaptateur pour vos appareils électroniques pour environ 10 rands. 

 

Pourboires en Afrique du Sud

 

Les serveurs et chauffeurs de taxi s’attendent à recevoir un pourboire qui correspond à 10% de la note, car le service n’est généralement pas inclus.

 

Échange culturel en Afrique du Sud :

 

Afin de comprendre la différence culturelle et de vous présenter à vos hôtes, vous pouvez amener avec vous quelque chose de représentatif de votre pays. Une carte, un CD avec l’hymne nationale, des habits traditionnels de votre région, des jeux, des photos. Vous pouvez aussi apporter des recettes et faire découvrir votre cuisine – à condition de trouver les bons ingrédients sur place. Faites découvrir des herbes aromatiques locales ou une boisson méconnue à l’étranger… Si vous participez à une mission humanitaire avec des enfants, vous pouvez apporter des cahiers de coloriage représentant des monuments connus de chez vous ou des CDs avec des chansons pour enfants… Laissez-vous guider par votre imagination, mais sans surcharger vos bagages !

 

Numéros d'urgences en Afrique du Sud

 

Si vous devez appeler la police, composez le 10111.

Si vous devez appeler les pompiers, composez le 10177.

Si le problème n’est pas grave, appelez d’abord la coordinatrice.

 

Décalage horaire avec la France

 

GMT +2 heures

 

 

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