En Europe de plus en plus de personnes s’impliquent dans le bénévolat, certaines études parlent de 90 millions d’adultes qui auraient une activité bénévole dans de nombreux domaines divers et variés, ce qui représenterait environ 20% de la population de plus de 15 ans.
L’année 2011 fut proclamée l’année du bénévolat par la commission européenne et à cette occasion une étude a été publiée, qui doit servir à soutenir le secteur du bénévolat.
Le pourcentage de bénévoles par rapport à la population est très variable suivant les pays. En effet, le bénévolat est traditionnellement et culturellement plus présent dans les pays du nord de l’Europe que dans les pays du sud, la France se classant dans la moyenne Européenne avec environ 40% de bénévoles.
Dans ce billet nous nous pencherons plus particulièrement sur le bénévolat humanitaire international. Non pas que celui pratiqué au niveau local ne nous intéresse pas, bien au contraire, puisque nous y participons nous-même en tant que bénévole dès que nous le pouvons, mais parce que c’est celui que nous connaissons le mieux.
De nombreux bénévoles partent chaque année en mission humanitaire à travers le monde. Ce sont principalement des jeunes étudiants, qui décident de faire une pause dans leur cursus scolaire pour donner un peu de leur temps et aider les autres.
Dans les pays anglo-saxons cette pause sabbatique se nomme « gap year » et elle est très prisée par ces jeunes, car ce court moment sabbatique facilite énormément leur développement personnel.
Cette parenthèse dans leurs études n’est pas forcément de longue durée, certains partent un an, d’autres un mois, et parfois même moins que cela. En général ils profitent de leurs vacances d’été pour accomplir les missions, mais il y a également beaucoup de départs le reste de l’année.
Il y a aussi beaucoup de jeunes fraichement diplômés qui partent pour effectuer un stage de fin d’études, pour faire valider leur cursus scolaire ou tout simplement pour acquérir une certaine expérience dans le domaine de la santé par exemple, ou pour un premier emploi, et ils se dirigent alors très souvent vers le bénévolat international.
Il y a aussi pas mal de retraités qui, comme vous l’aurez compris disposent de plus de temps pour effectuer ces missions de bénévolat humanitaire, car il n’est jamais trop tard pour rendre service, s’occuper des autres et accomplir ses rêves.
Le bénévolat international permet également de découvrir d’autres cultures et ouvre des fenêtres sur le monde. La vie du bénévole dans le pays d’accueil est une aventure extraordinaire. Il vivra en immersion totale avec la population, car il habitera directement chez l’habitant et partagera son quotidien, c’est une chance formidable de pouvoir ainsi
échanger avec les hôtes, et de perfectionner
également une langue étrangère.
Les missions pour ce type de séjour sont nombreuses et variées, et vous en trouverez certainement une qui vous convienne, que ce soit dans le domaine de la santé, de l’enseignement, de l’éco volontariat, pour travailler dans des orphelinats ou avec des personnes âgées, dans des réserves naturelles pour aider à la protection des animaux et de la nature ou autre, vous rentrerez de ce voyage grandi.
Tous les volontaires savent très bien quand ils partent qu’ils ne vont pas changer le monde, et d’ailleurs très peu en aurait la prétention, tout ce qu’ils veulent, c’est aider et apporter du bonheur.
Ils pourraient très bien se diriger vers des ONG internationale très connues, mais ils se dirigent en général vers des associations tels que Globalong. Non pas parce qu’ils ont peur de partir seuls à l’aventure, mais tout simplement parce qu’il est très difficile de partir avec ce type d’ONG, qui, et tout le monde la bien compris, recherche plutôt du personnel qualifié et cela pour des durées beaucoup plus longues.
Les missions du bénévole sur place sont pour certaines plus difficiles que d’autres, on pourrait nommer en particulier les volontaires très courageux qui partent en mission humanitaire dans des centres pour les déficients mentaux ou pour des enfants atteint par le virus du sida.
Lorsque les bénévoles sont sur le terrain leur vision du monde change et cela dans la plupart des cas dès les premiers jours. Ils se rendent très vite compte de la chance qu’ils ont dans leur vie et ils oublient très vite toutes les futilités matérielles.
En partant en mission, le bénévole n’a besoin d’aucune connaissance particulière, même si il ne faut pas s’attendre à enseigner l’anglais à des moines bouddhistes sans maitriser la langue de Shakespeare.
Conseils à toutes les personnes qui veulent vivre cette expérience incroyable qu’est le bénévolat humanitaire :
– la première règle c’est d’avoir envie d’aider,
– la deuxième c’est d’être motivé et d’apporter dans ses valises sa bonne humeur
– la troisième, c’est de vous dire que personne ne vous jugera, peu importe votre nationalité, votre âge, votre statut social ou que vous maitrisez ou non l’anglais
– si vous choisissez une mission dans le domaine de la santé, par exemple avec les enfants qui sont atteints de malformations, ne les regardez pas avec de la pitié, ce n’est pas ce qu’ils recherchent, transmettez leur de l’amour et de la connaissance, ils vous en remercieront.
Les premiers jours le choc culturel (voir notre dossier à ce sujet) peut être très difficile. C’est pour cela que Globalong commence les missions par des journées dites d’introduction et d’immersion.
Lors de ces journées, les correspondants locaux apprennent aux bénévoles différentes choses comme les coutumes du pays dans lequel ils se trouvent, quelque cours de la langue locale – ça peut toujours aider, et la façon de se comporter pour ne pas froisser la sensibilité des gens sur place.
Le bénévole n’est pas un colonisateur, est ne doit de ce fait jamais se comporter ainsi, il devra respecter les consignes donnés lors de ces journées de découverte et cela lui évitera sans doute bien des soucis dans son quotidien.
Tout le monde devraient prendre une pause et donner du temps pour les autres au moins une fois dans sa vie, que ce soit au niveau local ou international.
Nous avons tous quelque chose à apporter, il suffit juste de le décider.
Découvrez les programmes d’écovolontariat, de bénévolat et linguistique en cliquant ici !
https://www.facebook.com/globalong
Bonjour nous sommes deux étudiantes infirmière à l’Ifsi et
nous aimerions effectuer un volontariat international sous
forme de stage au Cambodge.
Merci pour votre réponse
Bonjour et merci de l’intérêt que vous portez à Globalong.
Nous avons un partenariat avec quelque IFSI et de nombreuses étudiantes infirmières ont déjà pu s’engager dans un stage de volontariat international.
Tu peux nous écrire à [email protected] et nous expliquer votre projet.
Merci et à bientôt.
Bonjour,
Je suis actuellement bénévole dans une association suisse et j’aimerais m’engager avec votre organisation au Népal.
Je voudrais entrer en contact avec d’autres bénévoles ayant déjà participer à une mission humanitaire avec globalong pour pouvoir faire ma propre critique.
J’ai également lu votre article sur les arnaques du volontariat international et ça ma ouvert les yeux sur toutes les dérives de l’humanitaire.
Je voudrais partir pendant l’été 2018, alors merci de votre réponse.
Bonjour Karine
Nous vous avons envoyé un mail et nous serons ravi de vous mettre en contact avec d’anciens Volontaires de Globalong au Népal.
A bientôt.
Bonjour,
J’ai 15 ans et j’aimerais énormément participer à une mission humanitaire mais je ne sais pas si c’est possible à mon âge .
Merci de votre réponse .
Bonjour Lola et merci pour votre commentaire.
Les adhérents qui s’engagent à l’étranger doivent obligatoirement être majeur le jour du départ.
Vous pouvez avoir plus d’informations par mail à [email protected]
Merci.
Bonjour
je suis infirmière chef de bloc opératoire depuis 37 ans en Suisse je viens de prendre ma pré retraite et je souhaiterais m’investir bénévolement au Vietnam
J’attends de vos nouvelles
Bien cordialement et belle année 2020 que votre chemin soit parsemé d’étoiles étincelantes. Christine Robin
Bonjour,
Merci pour votre message et pour l’intérêt que vous portez à l’association Globalong.
Vous pouvez nous contacter par mail à l’adresse [email protected] pour poser toutes vos questions.
Bien cordialement
Bonjour,
Je viens de finir mes études d’éducateur en France. Cela fait 6 mois que je travailles auprès d’enfants, d’ados et d’adultes en situations de handicap. J’aimerais maintenant découvrir l’humanitaire. J’aimerais savoir combien temps dure une mission, si un profil comme le miens vous intéresse ( sachant que je n’ai que un faible niveau en anglais).
Bonjour,
Je suis bachelière en administrations des affaires et ayant une scolarité de maitrise en finances appliquées (Ingénierie financière). Je ne retrouve plus mon profil e mon identité. J’aimerais toucher l’aspect humain que j’ai en moi. J’aimerais faire un travail d’aide humanitaire. J’ai l’envie toujours d’aider les autres.
Bonjour et merci pour votre commentaire.
Vous pouvez nous contacter par mail à [email protected] pour poser toutes vos questions.
Vous pouvez également consulter un de nos programmes sur notre site http://www.globalong.com
Merci à vous.