Il y a quelques semaines, nous vous présentions les qualités essentielles qu’un bénévole humanitaire doit posséder pour maximiser l’impact de son engagement sur place, mais aussi à son retour de mission.

Dans cet article, nous explorerons, à l’inverse, les compétences qu’une mission humanitaire à l’étranger permet d’acquérir, notamment en termes de soft skills !

Les soft skills, par opposition aux hard skills (entendre par là, compétences techniques) apparaissent comme des compétences essentielles et précieuses dans le milieu professionnel et humanitaire.

Les bénévoles humanitaires, peu importe la cause ou le domaine dans lequel ils sont engagés, développent tous des compétences communes lors de leur engagement humanitaire, et ces compétences, sont très plébiscitées par les recruteurs d’aujourd’hui.

Pour rappel, 40% des professionnels interrogés par LinkedIn ont déclaré que lorsqu’ils évaluent des candidats, ils considèrent que l’engagement bénévole a la même valeur que l’expérience professionnelle rémunérée !

Il nous apparait donc important d’évoquer avec nos adhérents les compétences qu’ils peuvent mettre en avant dans leur vie professionnelle à leur retour de mission.

Selon le Conseil en Évolution Professionnelle, un organisme gouvernemental, le top 6 des soft skills les plus recherchées sont les suivantes :

  • La curiosité
  • L’autonomie
  • L’écoute active et empathique ainsi que la communication interculturelle
  • La flexibilité et l’adaptabilité
  • La capacité à résoudre des problèmes et l’ouverture d’esprit
  • La responsabilité et l’intégrité

Ce sont des compétences qui vous parlent ?

Si vous êtes rentrés de mission humanitaire récemment, et bien c’est tout à fait normal puisque entre autres, il s’agit exactement des compétences (soft skills) que vous avez développé ou renforcé lors de votre engagement bénévole !

Au-delà de ces compétences, vous avez également développé des soft skills primordiales dans le monde du travail actuel, telles que la résilience ou la gestion du stress. En effet, les situations imprévues sont courantes dans l’action humanitaire, ce qui vous oblige à développer des compétences en résolution de problèmes rapides et efficaces. De plus, l’engagement humanitaire peut être émotionnellement exigeant, et développer votre résilience vous a permis poursuivre vos actions malgré les défis.

Par ailleurs, vous avez certainement été amené à gérer le stress lié aux situations d’urgence ou de rupture culturelle et à maintenir votre calme dans des conditions difficiles.

Vous avez également appris à travailler en équipe et à collaborer étroitement avec d’autres personnes, souvent issues de différents pays et cultures, pour atteindre des objectifs communs.

Il vous reste donc à tirer le meilleur profit de ces compétences, parfois même considérées comme des « mad skills » si toutefois vous avez déjà réalisé plusieurs missions humanitaires !

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