Mardi 12 mai 2015 le Népal a à nouveau été frappé par un tremblement de terre, cette fois d’une magnitude de 7,3 sur l’échelle de Richter, suivi de puissantes répliques.
Le séisme a été ressenti jusqu’à Delhi en Inde, et l’épicentre se trouve près du camp de base de l’Everest, à environ 80 kilomètres de la capitale du Pays, Katmandou. Le pays avait déjà été frappé par un séisme dévastateur le 25 avril 2015, qui avait fait plus de 7.000 morts et détruit de nombreux bâtiments, dont des sites historiques.
Ce deuxième important séisme a été moins meurtrier que le premier, mais environ 60 personnes ont perdu la vie et on compte plus de 1000 blessés (chiffres officiels au 
moment de l’écriture de cet article).
Heureusement, aucun bénévole ni membre du personnel ou enfants dans les orphelinats, écoles, monastères qui reçoivent des bénévoles n’a perdu la vie dans cette catastrophe.
Les gens se sont réfugiés dans la rue, mais à cause de la mauvaise météo, ils sont obligés de se réfugier sous des bâches.
La plupart des rescapés qui n’ont plus de logement peinent à s’abriter pour éviter le froid et l’humidité.
Les habitants du Népal sont maintenant habitués à sortir des habitations, car depuis le 25 avril, une centaine de répliques ont été ressenties.
Par mesure de sécurité, l’aéroport de Katmandou, qui sert de porte d’entrée pour l’aide humanitaire d’urgence, a été fermé. Les patients de l’hôpital principal ont été évacués, la plupart sur des chaises roulantes, pendant que le personnel médical dressaient des tentes devant le bâtiment.
Bien que cette nouvelle secousse semble moins puissant que celui du 25 avril, les habitants de Katmandou et des alentours ont eu très peur que les bâtiments déjà endommagés ne s’effondre.
Afin de ne pas surcharger le réseau téléphonique, le gouvernement népalais demande aux gens de communiquer par SMS et éviter de passer des appels.
Chez Globalong, nous attendons les recommandations du Quai d’Orsay avant de rouvrir les projets et à nouveau envoyer des bénévoles en toute sécurité.