Léna Durand
Léna Durand
2022-05-17
Je suis actuellement sur la route du retour... Alors oui, peut-être que les klaxons h24 et les 48 degrés de New Delhi ne vont pas me manquer tout de suite mais c'est quand même le cœur lourd que je quitte ce magnifique pays qu'est l'Inde (ses animaux, sa végétation, son architecture, ses plats et j'en passe) ainsi que ces magnifiques enfants (qui ne se plaignent jamais, sont contents d'un rien et sont très travailleurs). J'ai vécu un mois incroyable, une expérience que je n'oublierai jamais, encore merci à vous pour votre organisation !
Fanny Porret
Fanny Porret
2022-05-07
Nous étions un groupe de 4 étudiants à devoir réaliser un stage de 8 semaines dans le cadre de nos études en ergothérapie, et nous avons décidé de nous lancer dans l'aventure humanitaire aux côtés de l’association GlobAlong pour le réaliser. Nous avons été très bien accueillis par Janaka qui a pris le temps de nous présenter toutes les personnes avec qui nous allions être en lien durant notre stage, et de nous expliquer le déroulé et les missions de ce dernier. C'était une expérience incroyable, que l'on a pu vivre dans des conditions optimales grâce à Globalong, Janaka et sa famille, tous les acteurs sur place, les patients et leur famille que nous avons eu la joie de rencontrer. Une expérience aussi belle professionnellement qu'humainement, avec un nombre incalculable de rencontres. Les paysages nous ont complètement émerveillés... Bref, on a qu'une envie, c'est de ressauter dans un avion et recommencer ce type d’expérience ! Toutes les rencontres que nous avons pu faire dans le cadre de notre stage en ergothérapie sont toujours ancrées dans nos têtes. Comme nous allions également faire des séances à domicile, une nouvelle proximité s'est faite avec les membres de chaque famille, avec qui nous avons pu partager un bout de leur quotidien. Nous avons pu récupérer avant de partir quelques contacts, ce qui nous permet d'avoir des nouvelles de nos anciens patients (et de leurs proches) de temps en temps. Sur place, durant 5 semaines, nous avons partagé notre quotidien avec un autre volontaire danois, venu pour enseigner le football à de jeunes garçons. Il a prévu de venir nous rendre visite en France en mai 😉 Enfin, nous avons également pu rencontrer, lors de nos week-ends d'excursion, d'autres voyageurs (Français, mais aussi Néerlandais, Danois). Comme déjà énoncé, les rencontres ont rythmé nos 8 semaines d'expérience, et chacune d'elle a contribué à rendre cette aventure incroyable. Merci encore pour votre accompagnement et votre disponibilité, avant et pendant notre mission !
Johanna Blouet
Johanna Blouet
2020-11-01
Je suis partie faire du bénévolat en Afrique du Sud car je souhaitais découvrir le monde tout en y apportant mon aide. Je recommande l’association Globalong pour leur vivacité de réponse, leur bienveillance et leur écoute. Ma famille d'accueil au Cap a été incroyable, très gentille et plus que disponible pour moi ! Les autres volontaires à Port Elizabeth ainsi que les managers et propriétaires du refuge pour animaux sauvages ont également été formidables, bienveillants, gentils...et surtout patients et à l'écoute de mon anglais loin d'être parfait. J’ai fait uniquement des rencontres enrichissantes. Les moments que j'ai passé pendant les périodes de bénévolat ont été incroyables. Les enfants que j'ai rencontré à l'hôpital avaient besoin de beaucoup d'amour et d'attention, nous avons partagé des rires, des joies et des activités variées. Cette expérience me donne l'envie de découvrir le monde, encore plus qu'avant mon départ. Elle me donne également la sensation d'être plus libre et surtout capable et débrouillarde, dans n'importe quelle situation, et surtout elle va m'aider à encore moins m'attacher aux petits tracas du quotidien.
Laura Carton
Laura Carton
2020-04-01
Je voulais partir pour avoir une expérience enrichissante avec les animaux, plus tard j'aimerai travailler en parc animalier, donc il était important pour moi d'avoir une expérience à l’étranger. J'adore également voyager, c'était donc parfait pour moi ! Cela c'est très très bien passé, le centre est vraiment bien organisé , les organisateurs son disponible si nous avions la moindre question. Pour tout ce qui est organisation et échange avec Globalong, nous avons une personne référent pour notre voyage donc le suivie est top. En tout cas c'était une super expérience, très enrichissante! Merci beaucoup pour le suivi "
evelyne santi
evelyne santi
2019-12-26
"L’équipe sur place a été formidable, et ils m’ont tout bien expliqué pour que je ne sois pas perdue. La période de bénévolat s’est passée « comme sur des roulettes ! » Les enfants me manquent et je ressens un grand vide ! Je suis allée voir les éléphants dans le nord, le coordinateur sur place nous conseille selon les envies de chacun. Cette expérience permet de « remettre » l’être humain sur le chemin. « Vous allez vivre des moments de votre vie qui resteront gravés à jamais !"
Julie Landreau
Julie Landreau
2019-10-28
J’ai voulu partir pour me rendre utile durant mes vacances scolaires et pour découvrir une autre culture. Les séjours sont sécurisés et encadrés grâce à l’organisation de Globalong. La période de bénévolat s’est très bien déroulée et a été très enrichissante. J’ai visité Waterford , Clonmel. J’ai rencontré dans le cadre des missions de volontariat des personnes avec un esprit ouvert, très sociable. Ce fut un plaisir de passer mon séjour avec eux. Lors de ces expériences, il est nécessaire de se sociabiliser avec notre nouvel entourage et apporter son aide utilement en soumettant des idées par exemple. J’ai passé un séjour très convivial. Le rire était à l’honneur que ce soit avec l'équipe de travail ou au sein de la famille. De réels relations se sont créées et nous gardons encore tous contact.
melvyn
melvyn
2019-09-21
Dans le cadre de mes études et je cherchais un stage dans le domaine de l'environnement, je souhaitais aussi améliorer mon anglais et l'idée de faire du bénévolat me plaisait bien. GlobAlong a fait preuve de réactivité lors des questions posées sur le séjour et l'organisation. Le bénévolat s'est bien passé, il y avait beaucoup de travail (beaucoup de plantations d'arbres), les teams leaders étaient très bien. Les autres volontaires venaient d'un peu de partout et cela permet de rencontrer des personnes très différentes. J’ai pu visité Sky tower (éventuellement saut à l'élastique du haut de la tour); Rangitoto Island - Auckland whale and Dolphin Safari; le centre de l'ile du Nord le parc de Rotorua (300 km d'Auckland). Je pense avoir amélioré mon niveau d'anglais et je vais mettre cette expérience sur mon cv.

Le titre de journaliste reporter d’images est un métier très récent. En effet, l’ancien métier s’y rapprochant le plus, était celui de cadreur d’actualité qui a évolué en même temps que les techniques des métiers de l’audiovisuel. Un JRI « Journaliste Reporter d’images » est donc un cameraman doublé d’un journaliste.

Il réalise les sujets d’actualité pour les magazines ou pour la presse audiovisuelle, faisant ainsi passer l’information par sa caméra. L’évolution technique est telle que, dans les équipes de reportage, on a éliminé au fur et à mesure l’éclairagiste, le preneur de son et parfois le rédacteur. Les « bétacams » sont suffisamment perfectionnées aujourd’hui pour qu’une personne seule puisse faire l’image, le son et
éventuellement l’interview. Cela suppose une solide formation et des compétences multiples.
En France, il existe quatre formations JRI reconnues par la profession. Elles recrutent de petites promotions pour des études très encadrées.

Le photographe-reporter a pour mission d’informer à travers l’objectif de son appareil photo. Il effectue des reportages sur un lieu, une personnalité ou un évènement. Ce métier requiert une certaine mobilité de la part du futur professionnel en France comme à l’étranger pour suivre l’actualité : conflit armé, manifestations, conférence internationale, paysage tropical… Ce professionnel passe donc la plupart de son temps sur le terrain, et doit être prêt à se rendre sur les lieux d’actualité.

Les photos du photographe-reporter permettent d’illustrer des articles de presse et apportent un complément d’information au lecteur. Une image capte l’attention

et permet de voir un évènement ou une situation comme si on y était. Le photographe-reporter est ainsi un journaliste à part entière. À travers ses clichés, les lecteurs peuvent mettre une image sur des mots et être en immersion totale

Journaliste, il doit s’intéresser au monde qui l’entoure autant sur le plan politique, culturel et social… Il doit porter son regard sur son environnement, se trouver au bon endroit au bon moment et disposer de connaissances techniques pour que sa photographie puisse refléter au mieux la réalité. Ses compétences techniques autant que son esprit d’investigation, sa réactivité, sa maîtrise de plusieurs langues étrangères dont l’anglais, sa capacité à se former un bon réseau (même à l’international) sont parmi les qualités requises pour exercer ce métier.

Des qualités humaines indispensables :

Etre curieux et passionné

C’est le moteur indispensable qui prélude à l’exercice de cette profession. On ne peut vouloir raconter le monde sans avoir de la curiosité et de passion pour celui-ci. Cette curiosité vous amènera à trouver vos sujets, à vouloir raconter des histoires sur ce qui vous intrigue. Si vous n’avez jamais eu envie de voyager, de découvrir d’autres cultures ou d’autres communautés, oubliez tout de suite ce métier.

Avoir le sens du contact : on peut faire ce métier en étant timide, mais ce n’est pas le plus simple. Que ça soit en reportage ou pendant les phases de démarchage, il faudra vous confronter à d’autres personnes. Sur le terrain, il faut être capable de demander des renseignements, de s’imposer, de négocier des accès, de gagner la confiance des personnes photographiées. Ensuite, vous devez vendre votre travail, obtenir des rendez-vous, maintenir votre réseau professionnel. Il faut une bonne intelligence sociale. Mais il est sûr que pour faire certains reportages, il ne faut pas avoir peur et être en mesure d’exprimer ses capacités. C’est un métier de contact humain.

Avoir de l’empathie : un photojournaliste doit être en mesure de ressentir le monde qui l’entoure. Il doit être capable de se rapprocher de son sujet ou de comprendre les besoins d’un client, d’un journal.

Se cultiver et être intéressé par la marche du monde : Vous devez avoir une conscience politique et culturelle du monde moderne. C’est un métier qui raconte l’histoire, la société en marche, la réalité. Que ça soit dans des reportages sur l’intime ou sur les grands évènements d’actualités, vous avez besoin de connaissances pour décrypter ce qui se passe tout
autant que pour vous positionner et angler votre projet. Être journaliste implique donc de lire constamment la presse, de se tenir informé. De manifester un intérêt pour l’histoire, la sociologie, la culture l’économie ou même la psychologie, la psychanalyse. Bref, tout ce qui a trait à l’étude du monde et des êtres humains.

Aimer partager :  Il faut aimer partager ses images, être animé de ce désir d’informer. Vous témoignez à votre manière de votre expérience vécue. Vous n’êtes pas un « artiste ermite », vous faites un travail pour que des gens le voient. Vous avez une audience.

Vous souhaitez vous engager sur des missions de volontariat dans le domaine du Photo-journalisme :

Argentine

 Stage dans le journalisme

Népal

 Stage ou volontariat dans le journalisme (photo, presse écrite, création documentaire)

 

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