« La vie, ce n’est pas juste respirer, c’est avoir le souffle coupé. » – Alfred Hitchcock
« Cette citation n’a pris de sens à mes yeux que lorsque je l’ai vécue ».
Emmy, étudiante en alternance, vous raconte…

Il était 8h du matin, nous avions passé une semaine chez un ami, dans la ville de Pasadena à Los Angeles. Ce matin-là, nous avions préparé notre tente, nos sacs de couchages, nos lampes torches, tout l’attirail pour voyager en sac à dos vers la plus belle aventure, que j’attendais depuis si longtemps !

Nous avons pris la route, mon amie et moi-même, pendant 8h. Nous quittions alors une grande zone urbaine pour le parc national du Grand Canyon, qui nous réservait de si belles surprises. La route fut longue, l’impatience nous gagnait un peu plus chaque heure, mais ce changement progressif de paysages nous faisait déjà tellement voyager.

Après 8h de route, nous sommes arrivées au camping du Grand Canyon, pour enfin monter notre tente dans laquelle nous passerions 3 nuits à entendre les hurlements des loups.

Pressées de découvrir le Grand Canyon, nous sommes montées à bord des navettes disponibles sur pratiquement toute la rive sud du parc et nous sommes rendues au point de vue « Hopi Point » pour admirer le coucher du soleil.

Souvenez-vous de cette émotion ressentie lorsqu’on vous a annoncé la plus merveilleuse des nouvelles : ces larmes qui montent,
le cœur qui s’emballe, les papillons dans le ventre…

Vous connaissez alors l’émotion que j’ai ressentie lorsque j’ai découvert le Grand Canyon de mes propres yeux, cet endroit magique, que je rêvais de voir depuis des années. Cette profondeur, ces couleurs, ce calme, ce paysage à couper le souffle m’ont donné comme l’impression d’être devant une œuvre d’art au musée.

J’ai pleuré, parce que j’étais impressionnée. J’ai pleuré parce que j’ai réussi à réaliser un de mes rêves. J’ai pleuré parce que tout cela, je ne le devais qu’à moi-même.
J’ai pleuré, car j’étais heureuse d’être là où j’étais à ce moment précis de ma vie. J’ai pleuré car je me suis rendue compte des merveilles que la Terre nous offre et à quel point l’être humain ne s’en préoccupe pas.

Le lendemain, durant la randonnée de descente dans le Grand Canyon, j’ai rencontré pleins de petits hommes magiques, qui entretenaient les sentiers. Après quelques minutes d’échange, je les ai remerciés de faire ce qu’ils faisaient car nous avons besoin d’eux.

Si vous souhaitez vous lancer dans l’aventure en devenant un de ces petits hommes magiques que j’ai croisés durant ma randonnée, cliquez ici pour découvrir le programme d’éco-volontariat.

Découvrez aussi les photos des volontaires qui ont participé à des missions d’éco-volontariat dans l’ouest Américain en cliquant ici.

Pour plus d’informations sur les programmes, contactez-nous à l’adresse suivante: info@globalong.com

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