Ces trois notions ont en commun la volonté d’aider son prochain.
- Rendre service à un inconnu(e)
- Apporter son soutien à un mouvement social
- Donner de son temps aux autres en faisant du bénévolat
- Parrainer un enfant issu d’une communauté défavorisée
- Faire un don à une association caritative
- Etc.
Tous ces actes de charité contribuent à tisser un lien social, à abaisser les barrières sociales et culturelles entre différentes communautés ou différents individus et à créer une société inclusive, solidaire et plus unie face à l’adversité.
À l’occasion de la Journée internationale de la charité, le 5 septembre 2018 (célébrée en l’honneur de Mère Teresa, le jour de sa disparition), nous pouvons tous nous demander : « Que pourrais-faire pour être plus charitable ? »
La France peu charitable ?
Le World Giving Index (un index universel du don) a mené une enquête à l’échelle mondiale afin de déterminer quels pays étaient les plus charitables.
Ce sondage déclaratif, effectué auprès de plus de 2 milliards de personnes dans le monde, était basé sur trois questions :
Le mois dernier…
- Avez-vous porté secours à un(e ) inconnu(e) ?
- Avez-vous fait du bénévolat ?
- Avez-vous fait un don à une association
caritative ?
Les chiffres mondiaux pour 2015 sont les suivants :
- 1/3 des personnes interrogées déclare avoir aidé un(e) inconnu(e)
- 1/5 des personnes interrogées déclare avoir donné de l’argent pour une bonne cause
- 1/7 des personnes interrogées déclare avoir fait du volontariat
À noter : l’enquête ne prend pas en compte toutes les autres formes de philanthropie et est basée sur la bonne foi des personnes interrogées.
En 2016, la même étude place la France à la 81ème place (sur 140 pays au total) des pays les plus charitables au monde.
Un résultat peu reluisant pour l’un des pays les plus riches au monde… mais toutefois en progrès !
Si dans certains pays asiatiques ou anglo-saxons, par exemple, la charité a une place prépondérante dans le quotidien des populations, ces habitudes peuvent s’expliquer par divers facteurs comme :
- l’importance de certaines croyances religieuses (karma)
- la participation à des projets caritatifs encouragée à l’école
- l’importance de l’appartenance à une communauté
- une tradition philanthropique
- etc.
Pour que les Français remontent dans le classement, voyons quelles actions nous pourrions mettre en place dans notre quotidien pour aider les autres !
Une B.A. par jour, c’est possible… et ça fait du bien !
Être charitable, c’est avant tout un état
d’esprit.
Peu importent vos origines, votre situation professionnelle, vos revenus… ce qui compte, c’est de faire une bonne action (ou B.A.) pour aider les autres… et, par la même occasion, vous aider à vous sentir mieux !
Être à l’écoute des autres, favoriser l’échange et le partage, tout cela nous aide à cultiver notre humanité et nous maintient en bonne santé physique et psychique (des études scientifiques le prouvent !).
Si vous ne savez pas par où commencer, sachez qu’il n’y a pas de « petite B.A. » : une parole bienveillante, un encouragement, un petit service rendu, un sourire, un don matériel ou financier à la hauteur de vos moyens, un engagement bénévole auprès d’une association, etc. …
Mis bout à bout, tous ces actes charitables font une différence et sont faciles à mettre en place dans votre quotidien !
Commencez par une B.A. par jour, puis… sortez de votre zone de confort !
Si vous souhaitez vraiment marquer le coup, vous pourriez faire du bénévolat dans une association caritative locale ou même vous engager à l’international !
Aller à la rencontre d’une nouvelle culture ouvrira vos horizons et vous permettra de voyager autrement tout en donnant de votre temps aux autres.
Sources : ONU, Le Monde
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